8 mars 2017
Une
Scie le savant les insécables atomiques
Sa lame s’use ici sur le dur nucléus
Il avance et se ment pour un temps sur les us
A percevoir le monde en entités sémiques
Soudain la peur du vide impulse en dynamiques
Geysers chamarrés volutes dont sont issus
Les regards des surimpressions qu’ajoute en sus
L’esprit qui abhorre les flous labyrinthiques
Abîme néant rien que ta palette tue
En tons et tains qui cheminent de ta psyché
Vers l’ailleurs que ton âme à peine a oublié
Ton corps pense et ton pinceau dit ce décor mue
Lie l’aube aux jets d’un crépuscule en fulgurance
Unit l’embryon et la mort en vers garance
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