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J’allais de réflexions en réflexions sur l’Homme

Et tout ce qui l’entoure en de lents tours subtils

Invisibles sans, bleus, les idoines outils,

Des wayfarer azur à vision pur axiome :

L’éméraldine allée où les fesses de marbre

Des statues d’Apolline et d’autres cultes grecs

Sinuent sur des chauds sons de vents calmes et secs,

S’animait de ces feuilles qui gloussaient dans l’arbre,

Comme bêlait le ru, les lèvres sur sa source,

Ou frissonnait offerte aimante aux rais de Râ

D’un étang, la surface belle bleuira,

Comme si le magma baisait la Petite Ourse.

Les matins de ces nuits sur le pont j’aimais tant

Te rencontrer toujours au cœur de la clairière

Le temps des ricochets qu’une anodine pierre

Prend pour se transformer en saphir éclatant,

Les roses embaumaient le lapis-lazuli,

Les mimosas osaient les jupes vert topaze,

Seul un vieux geai geignait, comme crisse l’ardoise

Quand  la craie est aux mains de l’Homme pâle, aigri.